Mon avis
Watson est au chevet de la pauvre nourrice de Sherlock, blessée par balle. Celle-ci a quelques révélations à faire sur Florence Nightingale, une célèbre infirmière qui a brillé durant la guerre de Crimée (1853 à 1856). C’est d’ailleurs en 1854 que Violet Holmes met au monde son fils.
Nous en apprenons plus sur Violet, la mère du détective qui a participé à la guerre de Crimée. Watson avance peu à peu dans le smog du passé de son ami. Wiggins, quant à lui, suit Mycroft et enquête sur lui. Le frère de Sherlock ne serait pas si net que cela !
Toujours rien à redire sur les graphismes, nous alternons entre les tons sépia et les tons bleus. Les vignettes regorgent de détails et il faut parfois s’y reprendre à plusieurs fois pour tous les voir.
Ce tome donne à manger à certaines questions que je me posais mais il en ouvre aussi de nouvelles.
Vivement la suite !